Les techniques opératoires de la soustraction au cycle 2

    Feliu, Nina (2016)
Mémoire
Non consultable
    • Les techniques opératoires de la soustraction au cycle 2
    • 25 mai 2016
    • Mathématiques
    • Cycle 2
    • Technique opératoire
    • Trois techniques opératoires de la soustraction peuvent être enseignées à l’école élémentaire, chacune comportant des avantages et des limites entrainant des difficultés communes mais surtout spécifiques pour les élèves. On retrouve la technique par complément, assimilable à une addition à trous ; la technique anglo-saxone, qui consiste à échanger une unité contre 10 unités qui lui sont inférieures ; et enfin la technique française qui repose sur la propriété de conservation des écarts.
      Quel sens les élèves pourraient-ils donner aux techniques opératoires de la soustraction au cycle 2 pour pouvoir l'utiliser ?
      Du point de vue institutionnel, qu'est-ce que préconisent les programmes actuels ? Quelle est l'évolution entre les programmes de 2002, 2008 et les programmes de 2015 ?
      A quel type de tâche au sens de Chevallard les techniques opératoires de la soustraction peuvent-elles être employées ? Quelles sont les différentes techniques ? Quelles technologies et théorie justifient les techniques opératoires en question ?
      Pouvons-nous mettre en évidence des difficultés ? Est-ce que cela suggèrerait une programmation des apprentissages ?
      Qu'est-ce qui paraît le plus facile pour donner du sens aux retenues pour chacune des opérations ? Si la technique anglo-saxone semble plus simple, pourquoi introduire une nouvelle technique opératoire ? Comment donner du sens à cette technique opératoire à la française ? Quel type de situation mettrait du sens du passage de la technique anglo-saxone à la technique française ?

Citation bibliographique

Feliu, Nina (2016), Les techniques opératoires de la soustraction au cycle 2 [Mémoire]