Les nouvelles formes du bâti et des modes de vie dans les zones périurbaines de la vallée de Katmandou suite aux tremblements de terre de 2015.
- Lama, Thinley (2017)
Mémoire
Non consultable
- Titre en français
- Les nouvelles formes du bâti et des modes de vie dans les zones périurbaines de la vallée de Katmandou suite aux tremblements de terre de 2015.
- Auteur
- Lama, Thinley
- Directeur de recherche
- Rouyer, Alice
- Date de soutenance
- 11 septembre 2017
- Établissement
- Université Toulouse-Jean Jaurès
- UFR ou composante
- Département Géographie-Aménagement-Environnement
- Sujet
- Urbanisme
- Aménagement du territoire
- Anthropologie sociale et ethnologie
- Géographie
- Géographie rurale
- Mots-clés en français
- Espace vécu
- Organisation spatiale
- Périphérie
- Gestion du risque
- Approche communautaire
- Résumé en français
-
Le 25 Avril et 13 Mai 2015, 2 séismes ont frappé le Népal. Le premier, était d’une magnitude de 7,9 sur l’échelle Richter et le second d’une magnitude de 7,3. On dénombra un peu plus de 9000 victimes et 3,5 millions de personnes se retrouvèrent sans abris.
L’Institut d’études géologiques des Etats-Unis estime que les pertes économiques s’élèvent à environ 35% du Produit intérieur brut. 150.000 maisons individuelles se sont effondrées et plus de 150.000 ayant subi des dégâts lourds ont besoin d’être réaménagés.
Le Népal est une jeune république et un pays en développement. La situation politique y est instable et l’économie peu dynamique. Les séismes ont relevé un certain nombre de question en matière de gouvernance et de gestion du risque.
Au Sud de la vallée de Katmandou, deux villages périphériques ont été grièvement touché par les secousses. Pharsidole est un petit village peu connu et habité par des Tamang. Bungamati est un village newar à la renommée internationale pour son architecture et son artisanat. Ces deux groupes ethniques font partie des plus grands groupes minoritaire du pays.
S’ils n’ont pas connu le même développement, ils partagent des problématiques communes. Le bâti ne suit pas certaines règles d’urbanisme et du code du bâtiment. En particulier en matière de sécurité et de normes antisismiques.
Les deux communautés ont une organisation socio-culturelle spécifique et qui a façonné l’organisation spatiale des villages. Si la modification soudaine et radicale du bâti a transformé la trame en vue des catastrophes, il semblerait que l’organisation socio-spatiale ai survécu. Mais des changements profonds ont modifiée l’espace vécu des villageois. Ces modifications vont perdurer car elles sont liées à la façon dont s’organise ces villages et que la reconstruction est un processus lent qui commence à peine. - Accès au document
- Non consultable
Citation bibliographique
Lama, Thinley (2017), Les nouvelles formes du bâti et des modes de vie dans les zones périurbaines de la vallée de Katmandou suite aux tremblements de terre de 2015. [Mémoire]