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La défiscalisation immobilière dans les métropoles : diversité des trajectoires entre le premier et le dernier dispositif
Les dispositifs de défiscalisation sont apparus à partir des années 80 avec un certain nombre d'objectifs à atteindre mais aussi des idéaux au service des différents acteurs privés, publics et les citoyens de façon plus générale. Ils offrent un certain nombre d'avantages fiscaux.
Les biens issus des dispositifs sont surtout concentrés en métropole qui est, elle-même, située en zone tendue Demandeuse de toujours plus de logements du fait de sa croissance régulière, la ville représente un emplacement idéal pour les programmes. Cependant, il convient de souligner que les logements ont également été construits en zone détendue. La défiscalisation est alors un phénomène national qui ne demande qu'à continuer en s'améliorant depuis le tout premier dispositif. Ce mémoire se base sur la défiscalisation dans la métropole : diversité des trajectoires entre le premier et le dernier dispositif.
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L'aménagement de demain sous le prisme de l'urbanisme sanitaire
Au cours de l’Histoire et de l’évolution des sociétés, il nous a été permis de voir la connexion indéfectible entre médecine et urbanisme. Ces deux sciences sont interdépendantes car chacune s’est appuyée sur l’autre pour s’améliorer lors des différentes crises traversées. De nouveaux enjeux ont émergé au XXe et XXIe siècle. La crise écologique est dorénavant le nouveau défi des aménageurs. Ils doivent donc répondre aux objectifs de transition écologique tout en prenant en compte la santé. Le cadre législatif a évolué en ce sens avec des lois telles que celle sur la protection de la nature en 1976 ou la loi LAURE de 1996. De ces lois ont découlé des outils en faveur de la promotion de l’amélioration de la qualité de vie. Les labels tels que Ecoquartier ou encore quartier bas carbone ont leur rôle à jouer dans le paysage urbain de demain. Le triptyque environnement, santé et urbanisme semble être le nouvel objectif des acteurs qui construisent la ville. L’Ecoquartier de Castelnouvel, situé à Léguevin (31), peut être considéré comme un laboratoire d’expérimentations mettant en lumière des aménagements favorables à l’environnement et à la santé. A une échelle plus large, la ville-santé apparait comme une source d’inspiration pour les aménagements répondant aux défis du développement durable.
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Des populations résilientes face à une insécurité alimentaire. Le cas des retournés tchado-centrafricains à N’Djaména
Ce mémoire se propose d’analyser les stratégies d’adaptation d’une population forcée de changer de résidence à la suite d'un conflit armé. Il est question de cerner avec quelles stratégies les retournés et les réfugiés installés au camp de Gaoui, à N’Djaména, au Tchad, ont absorbé, sur le plan alimentaire, le choc de la guerre de 2013 en Centrafrique. Comment cette population s’est-elle adaptée aux conséquences de la crise pendant la migration, du départ à leur installation actuelle, et quelles sont les stratégies qui ont permis, potentiellement, de transformer les contraintes du territoire d’accueil en opportunités économiques ? Ce travail étudie un cas original en Afrique subsaharienne, celui d’un camp urbain, accueillant une population (centrafricaine) réfugiée, sans en avoir le statut, étant considérée comme citoyenne de son pays d’accueil (tchadiens, retournés).
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Le logement social produit à partir de la transformation d'immeubles de bureaux
Que deviennent les bureaux vacants dans les métropoles en manque de logement ?
Comment continuer à produire des logements sociaux dans les zones denses dans un contexte de raréfaction du
foncier ? Depuis la loi SRU, les communes ont l’obligation de détenir un part de logements sociaux. Pour produire, les bailleurs sociaux ont diversifié leurs moyens d’action par le biais d’alternatives à la construction neuve en maitrise d’ouvrage. Ils ont cherché à développer d’autres leviers. En 2019, l’Etat a lancé, un Appel à Manifestation d’Intérêt pour identifier des immeubles tertiaires à transformer en logements sociaux, l’objectif est de transformer 500 000m² d’ici 2022 à l’aide d’une enveloppe de 1,2 milliards d’euros confiée à Action Logement. L’étude de ce mode de production, par le biais de deux exemples de réalisation, a permis de comprendre comment ont émergé les projets, quelles sont les enjeux qui en découlent (cadre juridique, dispositifs financiers, médiatisation) et permet de mieux appréhender le développement d’un mode de production du logement social.
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Place des mobilités quotidiennes dans les modes d’habiter périurbains : Bouger dans l’entre-deux Nord-Toulousain
Le périurbain est entré depuis le début des années 1970-1980 dans une phase de maturation. Alors que la périurbanisation est au centre de nombreux débats scientifiques et sociaux, l’espace d’entre-deux qu’elle crée, à la fois espace, temps et sujet en mouvement, se lit de plus en plus sans l’influence d’un regard urbanocentré. Les espaces périurbains deviennent indépendants des villes et voient naître des modes d’habiter qui leur sont propres et où les mobilités quotidiennes ont un rôle centrale. L’exemple du nord-toulousain est intéressant pour comprendre la place des mobilités quotidiennes dans l’habiter métropolitain et périurbain. En effet, ce territoire laisse apparaître une multipolarité du territoire qui semble exclure la ville-centre. Se déplacer entre les différentes communes est donc primordial afin de répondre aux besoins en emploi, services ou loisirs. La dépendance à la voiture est toujours aussi importante mais les modes de déplacement doux semblent prendre le dessus, notamment en période de confinement. Notre approche des modes d’habiter périurbains par les mobilités quotidiennes laisse voir la volonté des périurbains de s’ancrer dans une localité multipolarisée. Ces derniers n’habitent plus dans le périurbain pour être proches de la ville, à moindre coût et à des prix plus abordables. Les périurbains souhaitent donner naissance à des localités qui traduisent une appartenance marquée à un territoire polymorphe où la volonté d’ancrage prime. L’étude des mobilités quotidiennes promet de dire que l’habiter périurbain ne se limite plus à la maison pavillonnaire mais bien à un territoire plus étendu que les périurbains s’approprient.
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La qualité environnementale, une notion composite qui se construit au prise des ambiances urbaines - Enseignements tirés de l'étude de l'île du Ramier à Toulouse
La montée des préoccupations environnementales nous pousse à nous questionner sur l’environnement dans lequel on évolue. Chacun souhaite se prémunir face à la pollution quelle qu’elle soit, face à la récurrence des phénomènes météorologiques extrêmes (canicules, crues, tempêtes, etc). La majorité des Hommes vivant en ville, il est nécessaire de faire du milieu urbain un milieu résilient, capable de s’adapter aux changements majeurs en marche. Le retour de la nature en ville pour faire face à ces changements globaux apparaît comme une solution simple et de laquelle on pourrait tirer de nombreux avantages. Toutefois, la nature seule n’est pas une réponse capable de résoudre l’ensemble des problèmes, les sources de nuisances sont nombreuses et aucune solution de lutte contre les nuisances ne pourra être durable sans que l’on travaille pour tendre vers la neutralisation des sources de pollution. Ainsi, la prise en compte de la qualité l’environnement au sens large est plus que nécessaire. Ce mémoire a pour but d’explorer la notion de qualité environnementale et d’en définir certaines limites. Cette notion composite est difficile à appréhender du fait de la diversité de ses composantes qui requiert une expertise dans de nombreux domaines. Ainsi par un travail sur les ambiances urbaines, nous démontrerons que la prise en compte de la qualité environnementale dépend grandement de la façon dont on perçoit et on est capable d’accepter les nuisances qui nous entourent. Cette notion d'acceptabilité nous renvoie à la dimension normative qui détermine des seuils de tolérance pour chacune des composantes de la qualité environnementale.
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L’enjeu du recensement des friches pour les territoires de demain : le cas de la Communauté d’Agglomération du Niortais
Ce mémoire propose des pistes de réflexion permettant de mieux appréhender la nature de l’objet complexe qu’est la friche. Longtemps abordée au travers de l’unique dimension paysagère, la notion de friche s’est peu à peu vu attribuer une place centrale au sein des problématiques d’aménagement et de planification de la ville. Bien qu’elle donne lieu à des interprétations multiples, la friche reste avant tout un espace délaissé, souvent déconsidéré. Ce foncier disponible suscite aujourd’hui et plus que jamais l’intérêt des aménageurs, sans cesse en quête de terrains disponibles pour pouvoir assurer un développement des villes au regard des injonctions nationales au renouvellement urbain et à la fin d’une artificialisation anarchique des sols. En l’absence de données d’envergure nationale caractérisant les friches sur le territoire français, une réelle action d’inventorisation s’impose pour répondre aux enjeux des territoires.
Une première partie de cette rédaction se prête à l’exercice de définition de la friche et dépeint une partie du cadre législatif entourant ces lieux. Il est également question de se pencher sur les méthodes de remobilisation de ce foncier, tant au niveau de l’aspect technique qu’en terme d’acteurs. Pour cela, différentes études de cas (nationales et internationales) sont abordées. La deuxième partie de ce mémoire se veut plus concrète puisqu’il s’agit de s’intéresser à la mise en place d’une méthodologie de recensement des friches et, plus particulièrement, au travail mis en œuvre par la Communauté d’Agglomération du Niortais. Celui-ci vise à identifier et intégrer les friches et autres ressources foncières mutables dans les documents de planification. Les données et outils mobilisés pour réaliser cette mission sont évoqués ainsi que les différentes étapes constitutives de cette dernière.
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La ville sexiste : les rapports sociaux de sexes et l'utilisation de l'espace public
Ce mémoire de recherche pose la question des rapports sociaux de sexe entre les femmes et les hommes dans notre société patriarcale et s’interroge sur la manière dont ils se manifestent dans l’utilisation et l’appropriation de l’espace public.
À travers les apports théoriques venant du féminisme, de la sociologie, de l’urbanisme, de la géographie, et à travers un perspective critique et radicale, ce mémoire cherche à comprendre comment les dominations sont produites et reproduites au sein de l’espace public. Il cherche également à mettre en lumière la nécessité d’un changement de paradigme qui se baserait sur une grille de lecture féministe pour une transformation sociale permettant l’émancipation collective de toutes formes de dominations. A travers un méthodologie de recherche-action, au sein de l’ensemble Bagatelle-Faourette-Papus-Tabar-Bordelongue à Toulouse, cette recherche inclue les diverses parties prenantes (partenaires institutionnels, acteur.rice.s associati.f.ve.s, travaill.eur.euse.s socia.ux.les, habitant.e.s) à toutes les étapes. Du diagnostic du territoire à la création de nouvelles initiatives, ce travail s’inscrit dans une perspective pluridisciplinaire et participative, à l’aide d’outils tirés de l’éducation populaire et de la recherche sociologique. L’objectif de ce mémoire n’est pas uniquement d’envisager la question des inégalités entre femmes et hommes dans la ville en vue de penser des aménagement adaptés où les femmes se sentent bien. Celui-ci cherche à mettre en lumière les inégalités systémiques qui régissent notre société et qui se reflètent dans l'espace public, et de chercher ensemble des outils pour penser collectivement des moyens concrets, situés et adaptés aux besoins du terrain pour une transformation sociale collective.
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L’alimentation des jeunes défavorisés guadeloupéens entre enjeux de santé publique et besoins identitaires.
Depuis quelques décennies, l’environnement alimentaire de la Guadeloupe a évolué. Les comportements alimentaires étaient autrefois régis par un système normatif socialement défini et étaient tournés vers une alimentation issue des ressources alimentaires présentes sur le territoire. Les savoir-faire culinaires de sa population locale accompagnaient alors cette alimentation locale. Ils sont aujourd’hui déstructurés de par la surabondance du choix et ils sont tournés vers une alimentation globalisée, dont les produits sont fréquemment transformés.
Face à la rapidité des changements liés à la modernité alimentaire, des jeunes, souvent défavorisés économiquement et socialement, se retrouvent de plus en plus affectés sur le plan de la santé. En effet, les facteurs de risque tel que le surpoids et l’obésité augmentent au sein de cette population.
A partir de ce constat, ce mémoire vient s’inscrire dans une recherche en science sociale dont l’objectif est d’apporter des éléments de compréhension à ces changements, en intégrant une analyse sur le rôle de l’offre alimentaire ainsi que celui des interactions sociales. Pour cela nous avons été amenés, à travers une revue de littérature et des entretiens, à appréhender les multiples dimensions de l’acte alimentaire chez les jeunes défavorisés guadeloupéens à partir de concepts tel que l’identité, le triangle du mangeur ou encore la théorie des installations.
Pour finaliser ce travail, nous avons été amenés à proposer une méthodologie qui a pour but de répondre à la question suivante : quel rôle jouent les différents modèles alimentaires dans les interactions sociales auxquelles sont confrontés les jeunes défavorisés ?
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La sexualité après un cancer du sein : significations et pratiques
Au fur et à mesure que la trajectoire du cancer du sein progresse, des modifications et
des adaptations sont exigées dans les différents aspects de la vie quotidienne : au niveau
professionnel, familiale, social, de couple et certainement au niveau de la vie sexuelle.
Cette dernière, souvent négligée par les professionnel.le.s, peut être gravement impactée
par l’expérience du cancer soit dans la pratique de l’intimité soit dans le sens attribué au
corps, objet de plaisir, et à la sexualité.
Ainsi, l’objectif de notre étude est de comprendre comment l’expérience du cancer du
sein affecte la sexualité dans les pratiques et les significations chez les femmes
mammectomisées, d’origine socioculturel français et actuellement en phase de rémission.
Pour répondre à notre question, nous avons recours à une lecture des revues
scientifiques faites. Ensuite, nous avons entretenus dix femmes en phase de rémission,
avec qui nous avons fait une entrevue semi-dirigée pour les laisser la place à s’exprimer et
partager leur vécu librement. Elles sont des femmes mitant de vie et d’origine
socioculturelle française. Nous avons également fait des entretiens semi-directifs avec le
conjoint de trois de ces femmes pour croiser les paroles et se projeter dans l’ambition
d’une étude monographique. Ainsi qu’avec une tatoueuse du mamelon, une sage-femme et
un infirmier travaillant dans un service oncologique.
Ensuite, nous avons procédé à des analyses qualitatives par thématique pour écrire et
interpréter les résultats obtenus selon cinq volets : la trajectoire du cancer du sein et la vie
sexuelle des femmes, la conjugalité et la vie sexuelle après le cancer, la perte du sein et la
sexualité, la reconstruction, le tatouage et la sexualité et le monde médical et la sexualité.
Les résultats obtenus montrent qu’après la finalisation de tous les traitements et le
retour à la vie quotidienne, c’est l’impact de l’expérience du cancer et la trajectoire de la
maladie qui jouent un rôle dans le retour des femmes à leur vie sexuelle. La perte du sein
en elle-même n’est pas un frein à la sexualité : les femmes ne considèrent pas le sein un
organe sexuel. Et la reconstruction mammaire n’est pas une condition suffisante pour
favoriser l’épanouissement sexuelle. Malgré que le cancer
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Le genre du travail du sexe: Enquête sur les travailleurs du sexe à l'heure d'internet
Il s’agit ici d’une enquête sociologique, menée durant deux années, s’interrogeant sur le travail sexuel à l’heure des nouvelles technologies. L’intérêt de mon travail de recherche sera porté sur les hommes cis-genre dans le monde de la prostitution, non pas en tant que client mais bien en tant que travailleurs du sexe. J’ai pour cela invoqué la sociologie de l’Ecole de Chicago comme paradigme explicatif des données recueillies. Je me suis également appuyée sur mes pairs ayant déjà étudié le sujet. Ainsi il conviendra de comprendre les mécanismes de genre dans le travail sexuel. Qu’est-ce que le fait d’être socialement éduqué va engendrer sur le pratique prostitutionnelle ? Quelle place ont les hommes dans le champ prostitutionnel ? Comment et qu’est-ce qu’être un homme dans la prostitution ?
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Les littoraux français: Entre tourisme et changements climatiques, quels aménagements pour demain?
Exemple de la Nouvelle-Aquitaine
Ce mémoire revient sur l’historique des aménagements du littoral de Nouvelle-Aquitaine pour nous emmener progressivement vers ceux d’aujourd’hui et de demain. L’aménagement a un rôle prépondérant sur les modes de vie et le tourisme des stations balnéaires. Sa réflexion est pourtant à remettre en cause car les acteurs du monde touristique sont souvent mis à l’écart de la conception des documents territoriaux stratégiques. Ce mémoire revient aussi sur les risques naturels présent sur les littoraux français et le rôle de l’anthropisation sur l’accentuation de ces derniers. Par ces états des lieux, ce mémoire propose des pistes de réflexion sur les aménagements et les usages des littoraux de demain.
Mots clés : Aménagement / Tourisme / Littoral / Environnement / Changements climatiques
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Quel développement territorial peut-on attendre d’un bien patrimonial mondial comme le Canal du Midi ?
Le Canal du Midi, du haut de ses plus de 3 siècles d’Histoire, nous contemple. Et les gens qui le côtoient le contemplent également. Mais qu’est-ce qui fait les particularités du Cana du Midi par rapport à son lien aux territoires ? Quel rôle peut bien jouer une infrastructure patrimoniale aussi imposante et mondialisée dans le développement territorial ? Le tourisme est-il la voie toute tracée, parce qu’évidente ? Ou bien d’autres chemins, empruntant des voies encore peu explorées, sont-ils préférables ? Autant de questions auxquels ces travaux de recherche tentent de répondre.
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Comment appréhender la diversité des systèmes alimentaires à l'échelle d'un territoire urbain à travers l'étude des aires urbaines de Nantes et d'Angers
Ce mémoire suit le travail réalisé sur la construction d'indicateurs dans le cadre du programme de recherche-action FRUGAL. Cet écrit permet d'affirmer la pluralité des systèmes alimentaires ainsi que de définir la méthode des indicateurs permettant de rendre compte de cette diversité.
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Participation des habitants à la gouvernance de la ville : Exemple des quartiers du 10ème arrondissement de Paris.
Sur l'administration et de la gouvernance dans la zone urbaine, de nombreux grands changements se sont produits au XXe siècle. Le caractère inclusif des individus et des groupes élus dans les systèmes démocratiques a été discuté et des alternatives sont présentées. Diverses méthodes et processus décisionnels relatifs à la gestion des services publics et de l'espace urbain ont été développés. À cette étape, l'idée de démocratie participative a émergé et divers outils de mise en œuvre ont été développés. Dans ce contexte, les mouvements étudiants qui ont émergé aux ÉtatsUnis et l'approche de budgétisation participative mise en pratique à Porto Alegre au Brésil en 1989 ont dépassé lesfrontières du Brésil et ont poursuivison développement en se répandant d'abord en Amérique Latine, puis en Europe, en Asie et en Afrique.
La démocratie participative, qui a un cadre légal en France depuis 2002, a été efficace dans la gouvernance urbaine. Avec cette loi, des conseils de quartier ont été créés.
Dans le cadre de mon stage dans le 10e arrondissement de Paris, l'un des outils de mise en œuvre de la démocratie participative, les conseils de quartier et la mise en œuvre du budget participatif en milieu urbain ont été ciblés.
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Logistique urbaine : enjeux et perspectives du dernier kilomètre. Application à l’écoquartier toulousain de la Cartoucherie
Ma mission principale était d’accompagner l’équipe chargée de l’écoquartier de la Cartoucherie (Métropole Toulousaine) dans l’aménagement d’un centre logistique pour le dernier kilomètre ayant pour ambition d’optimiser les flux logistiques du quartier (véhicules de livraison, stationnements, traitement des déchets…). Le site étudié est un écoquartier à programmation mixte où l’on projette une rationalisation des flux pour des raisons notamment de pollution de l’air et de recherche d’une fluidité de la circulation (diminution du nombre de véhicules dans l’écoquartier, conflits d’usage de la voirie…). La logistique du dernier kilomètre est un sujet qui nourrit plus vivement les écrits scientifiques depuis les années 2000. Néanmoins, le sujet est encore peu abordé dans les documents d’urbanisme et les opérations d’aménagement. Les collectivités et les urbanistes cherchent à inscrire cet enjeu dans leurs programmations mais la concrétisation d’un outil logistique concret est rare en raison notamment de la complexité du système des livraisons de marchandises. La réalisation de mes missions de stage a été guidée par la volonté d’évaluer les besoins de l’écoquartier en termes d’optimisation de la logistique du dernier kilomètre pour en définir un outil opérationnel (localisation et définition d’un type d’espace immobilier et de son exploitation par un gestionnaire). Les flux sont nombreux et complexes et les moyens pour étudier les possibles aménagements ne sont pas vraiment mis en oeuvre pour formuler une place à la logistique du dernier kilomètre en ville. Cependant, l’envie d’esquisser des services urbains aux habitants et usagers et d’anticiper les besoins de la logistique en ville en concertation avec les acteurs économiques est présente et de nouveaux projets se dessinent.
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Penser une coordination à l’échelle régionale des pratiques de formation professionnelle départementales des Centres d’Information sur les Droits des Femmes et des Familles Ce mémoire de Master 2 de sociologie des organisations et de l’action publique a été réalisé durant les mois de mars à août 2020 au sein de la Fédération Régionale des Centres d’Information sur les Droits des Femmes et des Familles de la région Provence-Alpes-Côte d’Azur. Il a pour objet de comprendre comment plusieurs CIDFF de la région peuvent collaborer dans leurs activités de formation professionnelle. En raison d’une nouvelle réforme de la formation professionnelle qui s’appliquera en 2021, la FR-CIDFF PACA se questionne sur les avantages que pourraient procurer une collaboration à l’offre régionale de formation professionnelle des CIDFF. Par la compréhension de ces actions à titre individuel, et du sens que les actrices accordent à leur pratique professionnelle de formation nous verrons comment ces activités sont perçues et comment peuvent-elles être pensées à l’échelle régionale.
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Zoom RH: immersion au cœur d'un dispositif pilote
Dans le cadre de mon stage de fin d'étude, j'ai effectué un stage de cinq semaines où j'ai été chargée de l'étude d'un dispositif appelé Zoom RH. Au cours de ce stage j'ai découvert que ce dispositif est bénéfique non seulement aux adhérents mais également aux conseillers qui veillent à l'anticipation des besoins de leurs adhérents en ce qui concerne l'emploi, les compétences et la formation
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Les mesures d'accompagnement des commerçants bruxellois dans le contexte de l'e-commerce
Ce présent travail a été réalisé dans le cadre d’un stage professionnel de fin d’année d’étude en Master Sociologie des Organisations et de l’Action Publique. Il concerne une analyse sur les mesures d’accompagnement des commerçants bruxellois dans le contexte de l’e-commerce. Selon une étude menée par Retis, entre les années 2008 à 2018, le nombre d’e-commerçants a connu une faible évolution à Bruxelles.
Notre travail s’est appuyé sur des entretiens et questionnaires auprès des commerçants bruxellois, et sur des observations participantes au sein du Parlement bruxellois lors des différentes commissions, réunion du parti politique DéFI et séances plénières dans lesquelles nous avons eu l’occasion d’assister.
Les résultats de notre étude auprès des commerçants bruxellois nous a permis de comprendre pourquoi en région bruxelloise le taux d’e-commerçant est faible par rapport à la région flamande et wallonne. Ceci est dû au fait que les commerçants de proximité dans la région bruxelloise évoquent que le coût de la création d’un site internet est trop élevé. De plus, l’apparition des grandes enseignes tuent leurs commerce
Mot clés : e-commerce, commerçants, accompagnement, gouvernement régional bruxellois, logistique.
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Billettique en Région Occitanie, élément central de
l’intermodalité et de l’interopérabilité : quelles perspectives ?
Ce mémoire donne des perspectives en faveur d’une modernisation de la billettique sur le
réseau de cars interurbain en région Occitanie. Ce travail intervient dans un cadre plus large,
d’harmonisation tarifaire, d’une hétérogénéité de systèmes vieillissants et de l’unification des
réseaux de cars en une marque : liO. Grâce à un état des lieux des différentes politiques régionales
mises en place depuis la loi NOTRe et d’une multitude de billettiques existantes, dans les réseaux
urbains et interurbains, nous verrons quelles solutions sont applicables au territoire d’étude. Un
territoire qui a fait de la mobilité sa priorité parmi ces politiques. Enfin, ce mémoire se termine sur
une ouverture vers la gratuité et la place de l’usager dans le système de transport.