Mémoire fragmentée, mémoire réanimée. Habiter le blanc dans le documentaire animé.
- Bonnehorgne, Lisa (2020)
Mémoire
Non consultable
-
- Mémoire fragmentée, mémoire réanimée. Habiter le blanc dans le documentaire animé.
-
- 25 septembre 2020
-
- Par ce mémoire, j’entame un travail de recherche qui vise à transmettre une histoire. Je me place autour de mon documentaire animé en tant qu’historienne de l’art. J’officié à travers des informations historique et des souvenirs d’enfance mêlant ainsi la mémoire collective à la mémoire personnelle. Suivant ses deux polarités, nous commencerons donc par une partie abordant les problématiques relatives aux archives, et au devoir de mémoire qu’implique le film documentaire. Quelles typologies prennent les travaux des historiens à travers l’histoire ? Comment se forme un travail d’enquête si les traces ne sont plus visibles ? Peut-on aborder de la même manière le sujet des non-dits par rapport à un autre. Comment et quelle place, je prends lorsque je choisis un sujet à la fois personnel et historique? Dans un second temps, nous aborderons ce mémoire d’un point de vu plus sensible en allant chercher le sens du documentaire animé à travers mon histoire et mon art. J’expliquerai quelles spécificités, je cherche à faire paraître de l’animation au travers de mon film. Et par ce postulat, la nous irons aussi voir du côté de la distance filmique. Qu’est-ce qu’elle apporte lorsqu’elle est choisie et quand au contraire elle s’impose comme barrière au documentaire ? Change t’elle le rapport à l’intime ou au contraire comme dans les œuvres de Kiarostami, elle renvoi d’un éloignement quelque chose de plus personnelle. Puis nous glisserons petit à petit vers une analyse plus technique autour de l’influence de l’illustration dans l’animation. Nous verrons donc comment le film se construit de manière plastique, graphique et colorimétrique en empruntant des codifications de l’illustration.
-
- Par ce mémoire, j’entame un travail de recherche qui vise à transmettre une histoire. Je me place autour de mon documentaire animé en tant qu’historienne de l’art. J’officié à travers des informations historique et des souvenirs d’enfance mêlant ainsi la mémoire collective à la mémoire personnelle. Suivant ses deux polarités, nous commencerons donc par une partie abordant les problématiques relatives aux archives, et au devoir de mémoire qu’implique le film documentaire. Quelles typologies prennent les travaux des historiens à travers l’histoire ? Comment se forme un travail d’enquête si les traces ne sont plus visibles ? Peut-on aborder de la même manière le sujet des non-dits par rapport à un autre. Comment et quelle place, je prends lorsque je choisis un sujet à la fois personnel et historique? Dans un second temps, nous aborderons ce mémoire d’un point de vu plus sensible en allant chercher le sens du documentaire animé à travers mon histoire et mon art. J’expliquerai quelles spécificités, je cherche à faire paraître de l’animation au travers de mon film. Et par ce postulat, la nous irons aussi voir du côté de la distance filmique. Qu’est-ce qu’elle apporte lorsqu’elle est choisie et quand au contraire elle s’impose comme barrière au documentaire ? Change t’elle le rapport à l’intime ou au contraire comme dans les œuvres de Kiarostami, elle renvoi d’un éloignement quelque chose de plus personnelle. Puis nous glisserons petit à petit vers une analyse plus technique autour de l’influence de l’illustration dans l’animation. Nous verrons donc comment le film se construit de manière plastique, graphique et colorimétrique en empruntant des codifications de l’illustration.
Citation bibliographique
Bonnehorgne, Lisa (2020), Mémoire fragmentée, mémoire réanimée. Habiter le blanc dans le documentaire animé. [Mémoire]