Densité et formes urbaines : la fabrique d’une densité acceptable. L’exemple de la commune de Saint-Cyprien dans les Pyrénées-Orientales.
- Zapata, Lukas (2024)
Mémoire
Non consultable
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Densité et formes urbaines : la fabrique d’une densité acceptable.
L’exemple de la commune de Saint-Cyprien dans les Pyrénées-Orientales.
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Densité et formes urbaines : la fabrique d’une densité acceptable.
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- Zapata, Lukas
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- 12 juillet 2024
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- Densité
- Densification
- Intensification
- formes urbaines
- Acceptabilité
- Fabrique urbaine
- Etalement urbain
- Zéro Artificialisation Nette
- Pyrénées-Orientales.
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Chaque année, la France consomme environ 30 000 hectares d’espaces naturels, agricoles et forestiers sous la pression de diverses activités humaines. Étalement des villes, développement d’infrastructures, bétonisation… Comment lutter contre l’artificialisation des sols quand le pavillon est devenu la référence n°1 en matière d’habitat ? Ce phénomène s’est accéléré au cours des dernières décennies en raison de plusieurs facteurs comme l’augmentation du nombre de foyers due à la croissance démographique et à la réduction de la taille des ménages ; l’étalement urbain et le mitage ou encore la sous-exploitation du bâti existant avec la vacance de logements, de commerces dans les villes moyennes et le développement de résidences secondaires.
Portée dans les discours politiques nationaux comme un message d’espoir, souvent décriée et critiquée par l’échelon local, la densification soulève le débat. La densité fait référence à l’urbanisme des grands ensembles. La hauteur inquiète, la promiscuité oppresse, les nuisances dérangent. Or, faire dense ce n’est pas forcément faire du vertical et du collectif. En effet, il est prouvé que les quartiers de grands ensembles sont souvent moins denses que les centres anciens. Il convient donc de dépasser les préjugés et les perceptions sociales et culturelles afin de comprendre réellement les dysfonctionnements de l’étalement urbain, les facteurs amenant le débat vis-à-vis de la densité, qu’est-ce qu’elle signifie et comment est-elle perçue. La densification oui mais pas partout et à quel prix ? Questionnement unanime qui revient dans de nombreuses études.
Le but principal de ce travail est d’apporter le plus modestement des éléments de réponse à un questionnement et de dégager des tendances relatives à l’accueil de nouveaux habitants, au degré d’acceptabilité des formes de densité et à la perception de cette dernière chez les élus, techniciens et habitants. Le présent mémoire croise le plus possible des données quantitatives recueillies par le biais d’une bibliographie universitaire et des données qualitatives sensibles issues d’entretiens. Ce travail part de constats et de lois établis à l’échelle nationale et se veut comparatif dans l’analyse de leur application sur la commune de Saint-Cyprien qui m’a accueilli dans son service urbanisme pour la durée du stage.
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Chaque année, la France consomme environ 30 000 hectares d’espaces naturels, agricoles et forestiers sous la pression de diverses activités humaines. Étalement des villes, développement d’infrastructures, bétonisation… Comment lutter contre l’artificialisation des sols quand le pavillon est devenu la référence n°1 en matière d’habitat ? Ce phénomène s’est accéléré au cours des dernières décennies en raison de plusieurs facteurs comme l’augmentation du nombre de foyers due à la croissance démographique et à la réduction de la taille des ménages ; l’étalement urbain et le mitage ou encore la sous-exploitation du bâti existant avec la vacance de logements, de commerces dans les villes moyennes et le développement de résidences secondaires.
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Citation bibliographique
Zapata, Lukas (2024), Densité et formes urbaines : la fabrique d’une densité acceptable. L’exemple de la commune de Saint-Cyprien dans les Pyrénées-Orientales. [Mémoire]