L'instrument du merveilleux : le costume de divertissement à la cour de France (XVIIe - XVIIIe siècles)
- Rambeault, Leïa (2024)
Mémoire
Non consultable
-
- L'instrument du merveilleux : le costume de divertissement à la cour de France (XVIIe - XVIIIe siècles)
-
- 2 septembre 2024
-
- Académie de Musique
- Art de cour
- Bienséance
- Claude-François Ménestrier
- Comédie-Française
- Costume
- Cour royale
- Dessinateur d'habits Divertissement
- Habit
- Jean Berain
- Jean-Baptiste Lully
- Jean-Georges Noverre
- Louis-René Boquet
- Madame de Pompadour
- Menus Plaisirs
- Mode
- Opéra
- Réforme des costumes
- Théâtre de société
- Théâtre
- Versailles
- Vraisemblance.
-
-
Le présent mémoire est la première ébauche d’une réflexion en deux ans sur le costume de divertissement aux XVIIe et XVIIIe siècles. Initialement mu par une volonté d’étudier l’habit de scène comme un intermédiaire onirique, il revient sur la notion de « costume » et la mise en place progressive d’une véritable institutionnalisation du spectacle à la cour de France et dans le foyer parisien du divertissement. Ainsi, le chapitre rédigé est construit autour de trois axes majeurs. Tout d’abord, l’analyse de cette institutionnalisation depuis les années 1600 qui s’accélère sous le règne de Louis XIV par l’application d’une stratégie économique et politique. Ensuite, la caractérisation de l’habit de scène en parallèle de cette évolution, par le truchement de sa théorisation tant dans la création de dessins que d’essais participant à sa qualification, que dans sa conception, son usage sur scène et sa réception par le public. Enfin, le dernier axe explore l’avènement du phénomène de théâtre de société et la privatisation de la scène à des fins de représentations personnelles mises en exergue par l’exemple du théâtre de la marquise de Pompadour.
In fine, ce premier mémoire nous a permis de mettre en perspective une influence manifeste de la mode et de la bienséance sur l’habit de scène et inversement. De ce fait, cette hypothèse fera l’objet d’une étude plus approfondi au cours de notre seconde année de master.
-
Le présent mémoire est la première ébauche d’une réflexion en deux ans sur le costume de divertissement aux XVIIe et XVIIIe siècles. Initialement mu par une volonté d’étudier l’habit de scène comme un intermédiaire onirique, il revient sur la notion de « costume » et la mise en place progressive d’une véritable institutionnalisation du spectacle à la cour de France et dans le foyer parisien du divertissement. Ainsi, le chapitre rédigé est construit autour de trois axes majeurs. Tout d’abord, l’analyse de cette institutionnalisation depuis les années 1600 qui s’accélère sous le règne de Louis XIV par l’application d’une stratégie économique et politique. Ensuite, la caractérisation de l’habit de scène en parallèle de cette évolution, par le truchement de sa théorisation tant dans la création de dessins que d’essais participant à sa qualification, que dans sa conception, son usage sur scène et sa réception par le public. Enfin, le dernier axe explore l’avènement du phénomène de théâtre de société et la privatisation de la scène à des fins de représentations personnelles mises en exergue par l’exemple du théâtre de la marquise de Pompadour.
Citation bibliographique
Rambeault, Leïa (2024), L'instrument du merveilleux : le costume de divertissement à la cour de France (XVIIe - XVIIIe siècles) [Mémoire]