Titre en français

Les effets des aliments de textures modifiées sur la nutrition et le bien-être des personnes âgées en EHPAD

Titre dans une autre langue

The Effects of Texture-Modified Foods on the Nutrition and Well-Being of Older Adults in Nursing Homes

Auteur

Mengue Ebang, Grace

Directeur de recherche

Dupuy, Anne (19..-.... ; enseignante-chercheuse en sociologie)

Date de soutenance

2 mai 2025

Établissement

Université Toulouse-Jean Jaurès

UFR ou composante

Institut Supérieur du Tourisme, de l'Hôtellerie et de l'Alimentation (ISTHIA)

Diplôme

M1 Sciences sociales Appliquées à l'Alimentation

Sujet

Alimentation et nutrition

Mots-clés en français

Textures modifiées

Alimentation en EHPAD

Dénutrition des personnes âgées

Sécurité alimentaire

Troubles de la déglutition (dysphagie)

Bien-être des résidents

Mots-clés

Modified textures

Alimentation en EHPAD

Nutrition in nursing homes

Malnutrition in elderly people

Food safety

Swallowing disorders (dysphagia)

Residents' well-being

Résumé en français

A l'origine les textures modifiées ont été adoptées dans l'alimentation en EHPAD pour faciliter les prises alimentaires des résidents, ayant des troubles de la déglutition et de la mastication. Au fil du temps elles sont devenues un outil de lutte contre la dénutrition pour les personnes âgées dépendantes et ont été considérées comme un soin à part entière au même titre que les actes médicaux. Cependant, une application stricte de la règlementation d'hygiène et le respect des régimes alimentaires des personnes âgées est de rigueur, pour pouvoir garantir la sécurité alimentaire aux résidents. Et c'est là où se pose le dilemme, les résidents ne doivent pas percevoir, le repas comme une contrainte nutritionnelle, comme une prise médicamenteuse mais comme un moment de partage , sociabilisation, de plaisir contribuant à leur de bien être

Résumé

Originally, modified textures were introduced in nursing homes to facilitate food intake for residents experiencing swallowing and chewing difficulties. Over time, they have evolved into a tool to combat malnutrition among dependent elderly individuals and are now regarded as a form of care in their own right, on par with medical interventions. However, strict enforcement of hygiene regulations and adherence to residents' dietary requirements remain essential to ensure food safety. This is where the dilemma arises: meals should not be perceived by residents as a nutritional constraint or as a medicinal intake, but rather as a moment of sharing, social interaction, and pleasure that contributes to their overall well-being.

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Non consultable