Mourir en tant qu'étranger en Grèce : entre réalités vécues et imaginaire.
- François, Camille (2018)
Mémoire
Non consultable
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- Mourir en tant qu'étranger en Grèce : entre réalités vécues et imaginaire.
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- 27 juin 2018
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- étranger
- mort
- rites funéraires
- navigation
- naufrage
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- La mort en terre étrangère ne provoque-t-elle pas une double rupture, à la fois physique et mémorielle ? En quoi cette rupture engendre-t-elle – parallèlement – en Grèce, à travers la prise en charge des rites et pratiques funéraires, la résilience et le renforcement d’une communauté ? Si la stèle funéraire permet au défunt de persister symboliquement dans la mémoire collective d’une communauté, « l’insépulture » constitue un fardeau qui entraine une perte de lien social et un déséquilibre au sein de la cité. Mais l’édification d’un monument n’est-il pas aussi le produit de l’expression d’un bienfaiteur, porté par ses propres modes de pensée ? Ainsi, la représentation de soi-même, comme de l’Autre, constitue un moyen d’exprimer les modèles d’une culture commune.
Citation bibliographique
François, Camille (2018), Mourir en tant qu'étranger en Grèce : entre réalités vécues et imaginaire. [Mémoire]