Modèle intégratif du bien-être au travail : le cas des universitaires français
- Inigo, Marion (2019)
Thèse
Accès restreint
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- 2019TOU20025
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- Modèle intégratif du bien-être au travail : le cas des universitaires français
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- Integrative model of well-being at work : the case of French academics
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- 21 juin 2019
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- Bien-être au travail
- Motivation
- Contexte
- Implication
- Interférence vie privée-vie professionnelle
- Ego
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- Well-being at work
- Motivation
- Context
- Involvement
- Work–home interference
- Ego
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- Le bien-être au travail des universitaires a été étudié en prenant en compte l’influence de la motivation, de l’implication et des impacts (i.e., positifs ou négatifs) de la vie au travail avec la privée. Une échelle d’évaluation du bien-être en quatre dimensions a été créée : la satisfaction, le sens, la paix intérieure et l’harmonie. Nous avons exploré l'influence de la contextualisation sur le bien-être, et la paix intérieure serait peu influencée, contrairement aux autres éléments. Tous les facteurs de l'échelle de bien-être sont prédits par la croissance (i.e., quand une personne considère qu'elle se développe dans le temps, de manière adaptée) et les conflits de la vie privée sur le travail. Les influences positives de la vie privée sur le travail, et négatives du travail sur la vie privée, impactent la satisfaction, l'harmonie et la paix intérieure. Nous avons créé un inventaire de sept motivations : Contribution au Progrès par la Recherche ; (2) Travail d'équipe dans l'Enseignement ; (3) Estime de soi dans l'Enseignement ; (4) Autonomie dans les Activités de Recherche ; (5) Relations Positives avec les Étudiants ; (6) Autonomie dans l'Enseignement ; et (7) Collaboration. Cinq (i.e., 1, 2, 4, 5,7) sont positivement corrélées à des motivations autonomes de la théorie de l'autodétermination. Cette échelle permettrait de prédire le bien-être, les impacts vie travail-vie privée, et l’adoption d’un profil d’implication. Les universitaires ont des implications variables dans les activités de travail (i.e., dans la recherche, l’enseignement ou les activités collectives). Nous avons pu mettre en évidence que certains s’impliquent de manière équilibrée dans les trois activités, alors que d’autres en privilégient ou négligent une. Nous proposons à la communauté un inventaire de motivations académiques et une échelle de bien-être, qui pourraient être utilisées par les professionnels s’intéressant à ces problématiques.
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- Academics well-being at work has been studied, by taking into account the effects of motivation, involvement and work-life influence (i.e., positive or negative). A four-dimensional well-being scale was created: satisfaction, meaning, inner-peace and harmony. We explored the effect of contextualization on well-being, and inner-peace seems less influenced than other elements. All factors in the well-being scale are impacted by growth (i.e., when a person considers that it develops himself over time, appropriately) and conflicts from private to professional life. Positive influences from private to work life, and negative ones from work to private life, impact satisfaction, harmony and inner peace. We created an inventory of seven motivations: Contribution to Progress by Research; (2) Teamwork in Teaching; (3) Self-esteem through Teaching; (4) Autonomy in Research Activities; (5) Positive Relationships with Students; (6) Autonomy in Teaching; and (7) Collaboration. Five (i.e., 1, 2, 4, 5, 7) are positively correlated with autonomous motivations of the theory of self-determination. This scale would predict well-being, work-life influence, and membership to time-allocation profiles. Academics are variously involved in work activities (i.e., in research, teaching or collective activities). Some have a balanced engagement in the three activities, others preferred or neglected one. We propose to the community an inventory of academic motivations and a scale of well-being that could be used by professionals interested with these issues.
Citation bibliographique
Inigo, Marion (2019), Modèle intégratif du bien-être au travail : le cas des universitaires français [Thèse]