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Charte Qualité des sentiers de randonnée non motorisé en HauteGaronne, un nouvel outil pour le PDIPR
Ce rapport de stage se déroulera selon les parties suivantes : une présentation de la structure d’accueil, en l’occurrence le Conseil Départemental de la Haute-Garonne ; Via Garona, un projet de reconquête d’un ancien chemin jacquaire, dont j’ai eu l’occasion de participer à la concrétisation du projet ; le PDIPR ; et enfin la Charte Qualité document pour les porteurs de projets de sentiers de randonnée, qui a été ma principale mission en temps que stagiaire préparant un master.
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L’éducation environnementale à travers la campagne « Let It Grow » au parc Zoologique et Paysager du Reynou
L’éducation et la sensibilisation à la biodiversité locale par le développement d’activités ludo-éducatives et l’animation de ces activités dans le cadre de la campagne « Let It Grow ». Étude menée sur 2 mois au sein du parc Zoologique et Paysager du Reynou.
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Les sens donnés à la notion de patrimoine naturel
La notion de patrimoine naturel est subjective. C'est un constat qui peut être fait aux vues de l'évolution que la notion de patrimoine a suivi, et des différentes façons selon lesquelles elle est usitée par différents acteurs. Ces derniers sont nombreux, du porteur de projet à celui qui apporte les moyens d'action. C'est ce dernier qui se pose en professionnel du patrimoine collectif et qui porte le sens de la notion par sa visibilité auprès du grand public. Cette notion qui se construit au fur et à mesure car le concept de patrimoine naturel a emprunté une partie du sens de patrimoine familial, qui se précise par son application à la réalité et autant de déclinaisons possibles que la complexité du réel, et dont les terminologies prennent forme selon la gestion des organismes qui dispensent des ressources, engendre une pluralité de sens donnés à cette notion.
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L’amélioration de la diffusion de l’information « risques » au grand public
De par la Directive Inspire 2007 et les ordonnances de 2010 et 2013, il y a la nécessité pour l'unité prévention des risques de disposer des servitudes dont elle a la charge comme les Plans de Prévention des Risques (PPR) au format SIG en vue de répondre à l'obligation de la mise en accès public des documents et des servitudes de l'urbanisme sur le géo portail à partir du 1er janvier 2020.
Cette démarche a été initiée au niveau régional, les données étant en cours de livraison (de janvier à mai 2016). Cette mission a été confiée au bureau d'étude GB Info. De plus, le bureau d'étude Pyr Carto effectue les contrôles topologiques et le respect des standards COVADIS, et travaille de ce fait en étroite collaboration avec GB Info.
Ensuite, le Service Risques et Gestion de Crise (SRGC) et le Service Prospective et Stratégie (SPS) ont une participation active à la vérification des données "sur le fond" c'est à dire sur la conformité des limites et la signification réglementaire des zones cartographiées avec les documents officiels. En cas d'erreurs importantes, le SRGC renvoie les PPR à GB Info pour qu'il effectue les modifications. En cas de "petites fautes" telle que la suppression de certains polygones qui ont été dessinés à tort, le SPS s'en charge.
Ces servitudes doivent être aux standards COVADIS : ceci permettant d'une part d'harmoniser les données de la carte interactive de l'Information Acquéreur Locataire (IAL), d'autre part de diffuser l'information réglementaire.
La mission de ce stage est donc de travailler sur l'utilisation de ces données pour l'amélioration de la diffusion de l'information "risques" au grand public.
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Analyse et représentation d’un conflit environnemental lié à l’eau, le cas de Pascua Lama dans le Nord Chili Analyse du conflit de Pascua Lama dans le Nord Chili, dans une approche géographique. Propositions de représentations iconographiques du conflit.
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Travail inachevé sur le paysage de la ligne de chemin de fer touristique Rivesaltes - Saint-Martin-Lys
Est-ce le paysage qui redonne vie à une ligne de chemin de fer ou le chemin de fer qui redonne vie au paysage ?
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Plan pluriannuel d'entretien et de restauration de la rivière "la Durdent"
Dans un contexte de rétablissement d'un bon état écologique des cours d'eau, des actions de restauration et de renaturation se multiplient à travers les territoires. La mise en œuvre des premières mesures de restauration intervient au début des années 2000 et l'influence de la Directive Cadre sur l'Eau n'y est pas étrangère. En effet, celle-ci vise la reconquête du bon état écologique des cours d'eau d'ici 2021 en tenant compte du contexte et des enjeux actuels.
Les rivières et les zones humides deviennent alors des lieux protégés et privilégiés. La gestion des cours d'eau est complexe; elle nécessite l'adaptation des usages à la ressource et l'anticipation des crises, tout en garantissant la pérennité de la ressource et la transmission d'un patrimoine fluvial sain.
Niché en Normandie, au cœur du pays de Caux, la vallée de la Durdent présente de nombreux atouts d'ordre environnementaux et paysagers. Le fleuve "la Durdent" bénéficie d'une eau de bonne qualité et possède de fortes potentialités environnementales.
Néanmoins, l'anthropisation et les activités économiques de la vallée ont participé à l'assèchement des zones humides, à l'érosion des berges et à la disparition des fossés et connexions de la rivière. Ces conséquences ont entraîné un appauvrissement des écosystèmes aquatiques.
La Directive Cadre sur l'Eau obligeant à la présentation de résultats, une étude effectuée en 2006 par le Cabinet Conseil Eau Environnement a permis de mettre en place un plan pluriannuel d'entretien et de restauration. Celui-ci s'est appliqué à prendre en compte les différents enjeux qui s'articulaient autour de ce territoire.
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La sensibilisation à l'environnement en milieu associatif sur les déchets de guerre et les décharges sauvages Notre société génère plusieurs millions de tonnes de déchets chaque année, en grande partie à cause de l’industrialisation. Depuis quelques années l’environnement est pris en compte quant à la manière de stocker les déchets. « A compter du 1er juillet 2002, les installations d’élimination des déchets par stockage ne seront autorisées à accueillir que des déchets ultimes » loi du 13 juillet 1992. C’est avec cette loi et les circulaires suivants, que le gouvernement a décidé de répertorier toutes les décharges sauvages présentes sur le territoire français. Plus de 20 ans plus tard, Robin des Bois s’informe sur le devenir de ces dites décharges sauvages qui devraient aujourd’hui être fermées et réhabilitées.
Une de mes missions lors du stage a été de concevoir et d’envoyer un questionnaire aux mairies, communautés de communes, communautés d’agglomération et syndicats pour savoir ce que sont devenues les décharges sauvages sur leur territoire. L’objectif de ce travail est d’informer les administrés et de faire une cartographie de ces décharges réhabilitées ou non.
Cent ans après, la Grande Guerre continue de polluer et parfois même de tuer. Chaque année sont retrouvées des centaines de munitions, au fond des océans ou dans les sols.
La deuxième mission qui m’a été confié est celle de répertorier et de synthétiser les découvertes de vestiges de guerre du 1er janvier 2014 au 30 juin 2016.
J’ai effectué mon stage à l’association Robin des bois, du 17 mai au 12 aout 2016.
Mots clefs : environnement, déchets, décharge, guerre, pollution, munition
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Bilan de fonctionnement du Réseau Paysage Midi-Pyrénées de 2011 à 2015 À partir de différents types de données, productions, rapports existants et d’autres recueillies sous la forme d’entretiens, l'analyse développée durant le stage vise à dresser un bilan de fonctionnement du réseau paysage Midi-Pyrénées sur les cinq années écoulées. Partir de données quantitatives pour aller vers une analyse qualitative permet une appréhension vectrice d'idées permettant de trouver des pistes d'améliorations.
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Le plan de déplacement entreprise: Pourquoi un outil de développement durable nécessaire peut-il être parasité par des enjeux socio-économiques complexes? étude du cas d'un PDE avec l'entreprise AXIANS Santerne Toulouse
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La démarche de concertation dans la définition des politiques publiques. Évaluation des dispositifs employés et de la participation lors des États généraux du rail et de l'intermodalité Dans le cadre de la réforme territoriale française, les Régions Languedoc-Roussillon et Midi-Pyrénées fusionnent au 1er janvier 2016. Les élections de décembre 2015 conduisent
l’alliance entre les socialistes et les écologistes à la tête de l’exécutif régional. Suivant la logique de la démocratie participative, la nouvelle majorité lance, au premier semestre 2016, les États généraux du rail et de l’intermodalité. Cette consultation appelle les citoyens à exprimer leurs attentes afin d’alimenter la feuille de route de la politique régional des transports pour les vingt prochaines années. Les évolutions récentes dans le secteur du transport de voyageurs en France soulèvent des interrogations et incertitudes, qui ont conduit à cette concertation. Notre étude propose une évaluation du processus en observant la participation, de la diversité des acteurs et de leurs attentes, et les instruments de concertation utilisés, en particulier les réunions publiques auxquelles nous avons assisté.
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La complémentarité entre le covoiturage et les transports en commun:
L'exemple de Rennes Métropole Le covoiturage est un mode en pleine ébullition actuellement, grâce d'une part à l'explosion de l'usage des smartphones et des NTIC mais également le besoin de trouver des alternatives à l'autosolisme. Si le covoiturage apparaît comme un mode concurrent des transports publics, que ce soit à l'échelle d'une agglomération ou d'un pays, l'exemple de Rennes Métropole, à travers la stratégie de l'exploitant du réseau STAR, montre que le covoiturage peut être complémentaire des transports en commun.
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Mise en place de plans de désherbage “zéro phyto" : un changement de paysage urbain
L’anthropisation et l’accroissement des zones urbaines sont sources de pollution planétaires, néfastes pour notre environnement, impactant directement la qualité de l’air, de l’eau et des sols.
Parmi les sources de pollutions anthropiques, nous retrouvons les produits phytosanitaires, utilisés couramment dans le schéma d’agriculture intensive dans lequel s’est développé la France mais également dans les pratiques d’entretien des espaces publics et privés afin d’éradiquer ce que l’on nomme maladroitement les « mauvaises herbes ».
L’utilisation de ces produits n’est pas sans conséquences sur notre planète : pollution des milieux aquatiques, aériens et terrestre et les produits appliqués au plus près des sols, pénètrent dans les nappes phréatiques, notre principale source d’eau. Aujourd’hui, l’utilisation de ces produits, en agriculture et en zone non agricole (ZNA) fait l’objet d’un encadrement tout particulier par la réglementation, notamment pour les collectivités territoriales dont l’utilisation de ces produits représente 7% de l’utilisation totale des produits phytosanitaire en France mais qui portent des conséquences importantes sur notre environnement de par la configuration des villes et leur imperméabilisation, facilitant le ruissellement des substances chimiques directement dans nos cours d’eau.
Ont alors découlé diverses lois encadrant leurs utilisations en ZNA: les lois Labbé du 6 février 2014 et de Transition Energétique du 22 juillet 2015 interdisent l’utilisation des produits phytosanitaires pour l’entretien des espaces publics (voiries, espaces verts, forêts et promenades ouverts au publics) à compter du 1er janvier 2017.
C’est dans ce contexte que s’inscrit le stage de Master 2 réalisé au sein de la Communauté de Communes de la Vallée de l’Ariège. Afin d’aider les communes à modifier leurs pratiques d’entretien, et entamer le processus de passage au « zéro phyto » de façon raisonnée et maitrisée, l’objectif du stage a été d’apporter un soutien pédagogique aux agents et élus locaux des communes du territoire en réalisant avec eux un travail rigoureux de prise de conscience du danger de l’utilisation de ces produits et en envisageant d’autres méthodes de travail. Pour cela, la mission concrète de stage était l’élaboration de plans de désherbage, modifiant la gestion des entretiens des espaces publics, pouvant servir de « guide » pour la mise en place progressive du « zéro phyto »au sein des communes.
La mise en place de ces plans a évidemment fait ressortir des questions sous-jacentes en termes d’organisation mais également d’aménagement urbain. Le « zéro phyto » est une nouvelle méthodologie de gestion des espaces publics amenant des réaménagements urbains. Pour ne plus utiliser de produits phytosanitaires, il est nécessaire de croiser différentes techniques pour éradiquer les herbes dans les endroits où elles ne sont pas désirées en utilisant, par exemple, des désherbeurs thermiques et mécaniques (herses rotatives, binette électrique…). Mais c’est aussi et surtout, changer de vision sur la pousse d’adventives en zone urbaine. Sans l’usage des produits chimiques puissants pour éradiquer l’herbe, le niveau d’entretien des espaces publics ne pourra être préservé tel qu’à l’heure actuelle. De ce fait, des aménagements vont être à prévoir afin d’introduire la nature en ville pour apporter un côté esthétique à celle-ci tout en permettant aux agents de bénéficier d’un gain de temps pour l’entretien d’espaces difficiles comme les cimetières.
Ces réaménagements, qui passent par la mise en jachère fleurie ou spontanée d’espaces verts, ou de pieds d’arbres, le paillage de massif, la fleuraison des ruelles jusque-là grise et imperméable, engendrent un changement dans le paysage urbain connu jusqu’à présent. La difficulté du passage au « zéro phyto » se trouve dans l’acceptation des administrés à voir la configuration et les paysages de leur commune modifiés. Pour cela, le changement de paysage urbain se doit d’être amené progressivement et accompagné d’une campagne de sensibilisation.
Au-delà donc de l’intérêt environnemental de lutte contre la pollution liée aux usages de produits phytosanitaires, le zéro phyto permet d’ancrer l’histoire urbaine dans une nouvelle ère permettant la réintroduction de la nature en zone urbaine.
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Le plan Canopée 2050
La direction de l’Environnement et de la ville durable de Toulouse Métropole souhaitait candidater à un fonds européen pour l’accompagner dans le développement d’actions en lien avec le climat et la trame verte et bleue.
Durant les six mois de ma mission, j’ai rencontré les agents de la métropole et les acteurs de l’environnement afin de construire un programme d’actions autour de l’arbre, élément commun mis en avant dans les futurs projets de la métropole.
Ce plan Canopée vise à développer la présence de l’arbre afin d’atteindre une couverture arborée de 20 % en 2050. Ce parasol vert protègerait le territoire du rayonnement solaire et rafraichirait l’air par le phénomène d’évapotranspiration de l’arbre. Cette couverture garantirait le bien-être sur le territoire.
Je propose à Toulouse Métropole de candidater au fond européen LIFE-Adaptation au changement climatique. Les actions seront démonstratrices, innovantes, transposables à d’autres territoires. Elles s’articulent sur cinq ans. Elles traitent la préservation, la plantation et la gestion du parc arboré. Le programme d’actions proposé implique les acteurs publics et privés de la métropole. Il associe également la recherche.
Envisagé pour septembre 2016, le dépôt du dossier a été repoussé. La direction de l’Environnement disposera d’une année pour affiner les actions, confirmer les partenariats et proposer un budget précis à la délégation générale déléguée à l’espace public.
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L'agriculture urbaine, un outil pour repenser la ville ? De nos jours l’agriculture urbaine répond à plusieurs enjeux, elle est
multifonctionnelle et apparaît comme une solution face aux enjeux urbains contemporains. Ses applications sont multiples, on évoque notamment sa pertinence pour contribuer à une sécurité alimentaire des populations urbaines, son offre d’une forme active de loisirs, ses ressources pour répondre aux problématiques environnementales, sa participation au maintien de la santé, sa capacité à développer et renforcer le lien social, sa participation à l’embellissement et à un aménagement urbain viable et même sa fonction éducative à travers des techniques respectueuses de certaines valeurs.
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Proposition d’un cadre méthodologique et théorique d’évaluation de la vulnérabilité urbaine Mémoire de master 2 sur la vulnérabilité d'un panel de villes françaises au risque de vague de chaleur
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Initiative associative et locale pour le développement durable des favelas au travers de la réhabilitation des places publiques
Rapport de stage effectué du 28 avril 2016 au 27 août 2016 dans l’ONG Onda Carioca à Rio de Janeiro. L'ONG Onda Carioca travaille avec la réhabilitation de places publiques dans ou à proximité des quartiers populaires de Rio de Janeiro, où elle y développe des activités d'émancipations sociales dans une perspective de développement durable.
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Les aménagements favorisant le développement des mobilités douces
Au travers d'une étude de stationnement, de prospective de création de parking et d'un futur maillage de mobilité douce, ce travail les différents aménagements réalisables en faveur du développement des modes doux.
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Plan de soutien à l'apiculture et aux pollinisateurs sauvages pour Toulouse Métropole - Mémoire de stage de Master 2 Ville et environnement.
Mémoire de stage de Master 2 réalisé au sein de la Direction Environnement de Toulouse-Métropole, avec pour mission la définition d'un Plan de soutien à l'apiculture et aux pollinisateurs sauvages. La situation sanitaire des abeilles, l'encadrement de l'apiculture urbaine, et la prise en compte des pollinisateurs sauvages sont des enjeux de premier ordre pour la gestion de la biodiversité. Ce mémoire présentera le contenu et le cadre de la mission, une mise en perspective scientifique de ces enjeux, et un retour réflexif sur le travail réalisé lors de stage.
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Prospection et développement de projets éoliens en Ardèche, Auvergne Rhône-Alpes .
À partir de l'application d'un modèle de prospection, pour trouver des zones potentielles pour réaliser un projet d'un parc d'énergie éolienne dans le Département d'Ardèche, s'est développée la proposition d'amélioration du modèle de prospection.